Première Valse [Adrian]
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Première Valse [Adrian]
Tu étais là, en train de te balader dans l'établissement, pour ton premier jour en cours. Ce n'était pas de ta faute si tu t'étais perdu, mais quand même ! Tu ne pouvais que regretter de ne pas avoir suivit le reste de la classe.
Ce matin, tu avais lu qu'il y avait science sur l'emploi du temps qu'on t'avais donné. Cela t'avais aider à choisir tes vetements, et tu te baladais maintenant vétu comme le docteur Franken Stein de Soul Eater, c'est à dire avec une blouse blanche couturé de cicatrice, un pull et un pantalon egalement recouvert de suture. Bref, c'était en tenue couverte de fils que tu errais dans le batiment. Mais où était ta foutu classe ? Tu attrapa ta mèche de cheveux verte et tu la tourna entre tes doigts, mordant tes lèvres en cherchant du regard quelques choses qui aurait pu t'aider. Ton regard circulait dans ce couloir et tu t'apperçu que tu étais revenu dans le pensionnat de l'académie. Tu soupiras bruyament : tu avais tourné en rond.
Bref, tu recule et tu te dit que ce serais top si quelqu'un pouvait te guider : un garçon ou une fille qui se trouverait dans le coin. Soudain, tu entendis du bruit dans la chambre qui se trouvait à ta gauche et tu te dit que son occupant pourrait te sauver. Sans plus attendre, tu entras sans frapper dans la chambre d'Adrian von Lok.
Ce matin, tu avais lu qu'il y avait science sur l'emploi du temps qu'on t'avais donné. Cela t'avais aider à choisir tes vetements, et tu te baladais maintenant vétu comme le docteur Franken Stein de Soul Eater, c'est à dire avec une blouse blanche couturé de cicatrice, un pull et un pantalon egalement recouvert de suture. Bref, c'était en tenue couverte de fils que tu errais dans le batiment. Mais où était ta foutu classe ? Tu attrapa ta mèche de cheveux verte et tu la tourna entre tes doigts, mordant tes lèvres en cherchant du regard quelques choses qui aurait pu t'aider. Ton regard circulait dans ce couloir et tu t'apperçu que tu étais revenu dans le pensionnat de l'académie. Tu soupiras bruyament : tu avais tourné en rond.
Bref, tu recule et tu te dit que ce serais top si quelqu'un pouvait te guider : un garçon ou une fille qui se trouverait dans le coin. Soudain, tu entendis du bruit dans la chambre qui se trouvait à ta gauche et tu te dit que son occupant pourrait te sauver. Sans plus attendre, tu entras sans frapper dans la chambre d'Adrian von Lok.
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Re: Première Valse [Adrian]
Il fat déjà jour ? C'est la conclusion immédiate que le brun apporta quand il sentit ses jambes chauffer et une grande trace lumineuse envahit son parquet. D'un soupire inaudible, il referma son livre et sortit de sous ses draps. Un rapide coup d'oeil à sa montre lui indiqua qu'il lui restait quelques minutes avant que la cloche ne sonne. Il s'habilla en pensant qu'il n'avait pas mangé... Une fois le pantalon noir, le tee-shirt blanc et un manches longues noir par dessus, son chat vint le déranger avant de sauter sur le lit pour s'endormir au soleil. Le brun posa son livre sur sa table de nuit, prit son sac dans une main et s'apprêtait à sortir quand quelqu'un ouvrit la porte de sa chambre comme on entre dans un moulin. Légèrement agacé, à son habitude l'Allemand ne montra rien et se planta devant le nouvel arrivant. Cheveux verdoyants, un oeil vert, l'autre caché, des vêtements pleins de coutures... Les yeux d'acier détaillaient sans aucune gêne le corps devant lui, puis il murmura
Hm, c'est ma chambre ici, pas une salle de cours
Il eut un léger haussement d'épaules, aucune partie de son corps ne trahissait jamais ses réels sentiments. Sortant un livre assez imposant qui était en fait le registre des élèves (je sais pas comment il l'a eu) il le feuilleta rapidement et pointa d'un doigt trop pâle la photo de l'intrus puis lit silencieusement
Riku Akaraba, Terminal, Tennisman...
Il s'arrêta sur ce mot et émit un grognement silencieux, comment ce... Ce truc vert et totalement bizarre pouvait faire du tennis hein ? Il le poussa hors de sa chambre, sortit avec lui et referma la porte sans un seul autre mot
Hm, c'est ma chambre ici, pas une salle de cours
Il eut un léger haussement d'épaules, aucune partie de son corps ne trahissait jamais ses réels sentiments. Sortant un livre assez imposant qui était en fait le registre des élèves (je sais pas comment il l'a eu) il le feuilleta rapidement et pointa d'un doigt trop pâle la photo de l'intrus puis lit silencieusement
Riku Akaraba, Terminal, Tennisman...
Il s'arrêta sur ce mot et émit un grognement silencieux, comment ce... Ce truc vert et totalement bizarre pouvait faire du tennis hein ? Il le poussa hors de sa chambre, sortit avec lui et referma la porte sans un seul autre mot
Adrian A. von Lok- Messages : 126
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Re: Première Valse [Adrian]
Deja, le propriétaire de la chambre n'était pas causant : agressif, même. Il venait de te faire remarquer que sa chambre n'etait pas une salle de cours, ce que tu savais, bien sur. Il etait bete, ou... Bon, bref, la n'était pas la question. Tu le vis ranger son livre, qui était sans doute en anglais, enfin, tu supposais, et en sortir un encore plus gros, qu'il ouvrit en cherchant visiblement quelques choses. Quand enfin il s'arreta et dit ton nom, tu fut surpris.
« Oh mais c'est trop cool ce truc ! Tu l'as eut ou ? Tout les eleves sont dedans ? Tu y es aussi ? »
Tu esquiva habilement la tentative d'Adrian pour te mettre hors de sa chambre et tu attrapa le gros livre que le brun avait collé sur son bureau. Relevant ta mèche pour mieux voir, tu ne dechiffra même pas la couverture et tu ouvris le trombinoscope comme si c'était un cadeau de noël. Tes mains tournèrent les pages tandis que l'autre s'agacait, mais tu restait collé au livre comme une moule à un rocher. Lorsque tu arrivas à la page des terminales, tu dechiffras peniblement les écritures en alphabet latin. Dieu que tu aurais aimé y voir des kanjis... Tu t'interessait au texte sous la photo de l'occupant de la chambre, et tu annona a voix haute:
« Adria-neuuh... Alexandereuh... Boneuh... Loqueuh ?"
Tu eclata de rire à ce nom si mal lu, car tu ne savais pas très bien les sons à quoi correspondait les lettres de l'alphabet des francais. Essuyant une larme de rire devant ce si étrange patronyme, tu repris.
«Terminaleuh... Tenniseuhmaneuh ? Ca veut dire que tu fais du tennis ? Comme moi ?»
Tu le regardais dans les yeux avec un grand sourire et tu lui sautas au cou, faisant tomber le lourd bottin des élèves au sol. Mais, rien a faire, cela ne te génais pas. Tu étais contre lui et tu lui dit fort, en criant presque alors que ce n'était pas necessaire.
« T'es dans ma classe, hein ? Trop cool ! Et... Elle est ou la salle de cours ? »
« Oh mais c'est trop cool ce truc ! Tu l'as eut ou ? Tout les eleves sont dedans ? Tu y es aussi ? »
Tu esquiva habilement la tentative d'Adrian pour te mettre hors de sa chambre et tu attrapa le gros livre que le brun avait collé sur son bureau. Relevant ta mèche pour mieux voir, tu ne dechiffra même pas la couverture et tu ouvris le trombinoscope comme si c'était un cadeau de noël. Tes mains tournèrent les pages tandis que l'autre s'agacait, mais tu restait collé au livre comme une moule à un rocher. Lorsque tu arrivas à la page des terminales, tu dechiffras peniblement les écritures en alphabet latin. Dieu que tu aurais aimé y voir des kanjis... Tu t'interessait au texte sous la photo de l'occupant de la chambre, et tu annona a voix haute:
« Adria-neuuh... Alexandereuh... Boneuh... Loqueuh ?"
Tu eclata de rire à ce nom si mal lu, car tu ne savais pas très bien les sons à quoi correspondait les lettres de l'alphabet des francais. Essuyant une larme de rire devant ce si étrange patronyme, tu repris.
«Terminaleuh... Tenniseuhmaneuh ? Ca veut dire que tu fais du tennis ? Comme moi ?»
Tu le regardais dans les yeux avec un grand sourire et tu lui sautas au cou, faisant tomber le lourd bottin des élèves au sol. Mais, rien a faire, cela ne te génais pas. Tu étais contre lui et tu lui dit fort, en criant presque alors que ce n'était pas necessaire.
« T'es dans ma classe, hein ? Trop cool ! Et... Elle est ou la salle de cours ? »
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Re: Première Valse [Adrian]
En quelques secondes, cette tornade verte s'était emparée du registre et tournait les pages d'un air émerveillé. Adrian ne dit plus rien et se contenta de refermer la porte, son chat partant sur le balcon à cause de l'intrusion sur le matelas. Dark' avait raison, l'Allemand aurait mieux fait de partir tout de suite... Mais bon. Il n'arrêtait pa sde parler le bougre, et le brun dû se retenir pour ne pas se boucher les oreilles. Dans un soupire silencieux, il continua d'observer Akaraba. Il parlait bizarrement même, c'en était comique pour Adrian qui parlait presque parfaitement le français. Doucement, il avança vers le vert quand il se retrouva par terre avec l'autre sur lui. Adrian crut devenir sourd quand, à quelques centimètres de sa pauvre oreille, Riku trouva bon de crier dedans. L'allemand s'allongea complètement pour ne pas se faire mal à la nuque et finit par dire avec difficulté comme l'autre comprimait ses poumons
T-tu m'écrases là, Akaraba. Je m'appelle Adrian, je suis effectivement en terminale, et je fais du tennis, comme... toi
Cette simple conclusion le dégoûtait. Être avec ce truc vert, sautillant et bizarre, devoir jouer contre lui... Non, impossible, ses nerfs lâcheraient avant... Le brun eut un léger soupire avant d'essayer de se relever, si quelqu'un les voyait, ça allait jaser... Il réussi à se redresser et se retrouva avec le vert sur les genoux
Je vais te montrer la salle si tu veux, mais on commence à 10hrs, donc ça ne sert à rien
T-tu m'écrases là, Akaraba. Je m'appelle Adrian, je suis effectivement en terminale, et je fais du tennis, comme... toi
Cette simple conclusion le dégoûtait. Être avec ce truc vert, sautillant et bizarre, devoir jouer contre lui... Non, impossible, ses nerfs lâcheraient avant... Le brun eut un léger soupire avant d'essayer de se relever, si quelqu'un les voyait, ça allait jaser... Il réussi à se redresser et se retrouva avec le vert sur les genoux
Je vais te montrer la salle si tu veux, mais on commence à 10hrs, donc ça ne sert à rien
Adrian A. von Lok- Messages : 126
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Re: Première Valse [Adrian]
Toujours assis sur le tenebreux garcon, tu appuya sur le ventre au beaux abdos de Adrian. C'etait pour toi a la fois un jeu et un moyen de reflechir à ce que tu allais faire ensuite. Tu ne comptais pas te relever, juste rester étendu par terre, sur ce ventre si confortable, sans rien faire.
«...On a le temps alors ! Et sinon apelle moi Riku, c'est plus sympa de se tutoyer ! Et aussi, je... Hm... Sais plus. »
Il fit la moue et croisa les bras en reflechissant, avant de reprendre subitement:
"Ah oui ! On es dans la meme classe alors on pourra faire un match de tennis ! Ensemble ! C'est cool, non ?"
Il rit et souria au garçon, avant de lui caresser le front et de remettre des meches en places, son oeil couleur emeraude rivé dans les yeux de l'Allemand. Il decida ensuite de se blotir a Adrian pour dormir et posa la tete sur son front.
«Bonne nuit... Drian...»
«...On a le temps alors ! Et sinon apelle moi Riku, c'est plus sympa de se tutoyer ! Et aussi, je... Hm... Sais plus. »
Il fit la moue et croisa les bras en reflechissant, avant de reprendre subitement:
"Ah oui ! On es dans la meme classe alors on pourra faire un match de tennis ! Ensemble ! C'est cool, non ?"
Il rit et souria au garçon, avant de lui caresser le front et de remettre des meches en places, son oeil couleur emeraude rivé dans les yeux de l'Allemand. Il decida ensuite de se blotir a Adrian pour dormir et posa la tete sur son front.
«Bonne nuit... Drian...»
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Re: Première Valse [Adrian]
Il aurait voulu être méchant, dire que jamais ils ne joueraient l'un contre l'autre et encore moins ensemble, mais il se tut simplement en hochant la tête. Riku lui faisait un peu mal, mais ce qui agaçait réellement le brun, c'est qu'il ne se gênait pas pour le toucher... Mais, hein... Adrian cligna des yeux, il avait bien entendu ce qu'il avait entendu ? Cet imbécile, après l'avoir écrasé, il lui dormait dessus ?! Le brun soupira et le regarda un moment, il dormait déjà... Avec une certaine douceur, il se releva et l'allongea sur son lit avant de s'asseoir dans le coin du mur sur le matelas, la tête d'Akaraba sur ses genoux. Le brun ne bougea pas, il resta éveillé, la tête contre le mur et la main dans les mèches vertes. Si quelqu'un les voyait... Ça allait pas jaser, ça aillait faire scandale oui ! Et si ses parents... Non, mieux vaut ne pas y penser... Adrian soupira et allait s'endormir quand sa montre indiqua 10hrs moins 10, avec un léger soupire de mécontentement, il réveilla l'autre qui dormait sur SES genoux dans SON lit et le releva
C'est l'heure, allez, viens
Il ramassa le registre et le rangea dans son sac, vérifia que ses affaires de cours étaient également à l'intérieur puis fixa intensément l'iris émeraude d'Akaraba avec un sourire extrêmement volage. N'importe qui penserait avoir mal vu, surtout venant d'Adrian le glaçon au coeur de pierre. Jamais il ne souriait franchement, parfois, certes, ses lèvres s'étiraient dans un espèce de rictus, mais c'était plus pour se fiche de la gueule des gens, et encore. Souvent il n'y avait même pas besoin de cela pour qu'on comprenne quand Adrian plaisantait méchamment ou pas
Sinon on va être en retard, Riku
C'est l'heure, allez, viens
Il ramassa le registre et le rangea dans son sac, vérifia que ses affaires de cours étaient également à l'intérieur puis fixa intensément l'iris émeraude d'Akaraba avec un sourire extrêmement volage. N'importe qui penserait avoir mal vu, surtout venant d'Adrian le glaçon au coeur de pierre. Jamais il ne souriait franchement, parfois, certes, ses lèvres s'étiraient dans un espèce de rictus, mais c'était plus pour se fiche de la gueule des gens, et encore. Souvent il n'y avait même pas besoin de cela pour qu'on comprenne quand Adrian plaisantait méchamment ou pas
Sinon on va être en retard, Riku
Adrian A. von Lok- Messages : 126
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Re: Première Valse [Adrian]
Tu dormais et tu rêvais, situation pour le moins normale lorsque Morphée appellait un homme dans ses bras doux et cotonneux. C'est avec un sourire sur son visage béat et inerte sur ton envellope charnelle que tu squattais les genoux du gars le plus irascible, ténébreux et associal du lycée, bien que ce soit le seul que tu es déjà rencontré. Bref. Tu sentis que le garçon voulait te pousser pour t'installer sur le lit et tu grognas, dérangé dans ta sieste par ses mouvements impropu. Enfin tu rechuta dans ce monde noir et cotonneux qui caractétise le sommeil.
Lourd... Bruyant... Mouvementés... Lorsque tu dormais de ton sommeil le plus profond, le reste etait abstrait pout la chose qui se nommait cerveau et qui séjournait dans ton crane. Et Adrian Von Lok, avec sa piètre tentative pour te reveiller, faisait partie des choses abstraites. Tu l'entendis parler de l'heure, et tu ce fut l'unique chose que tu compris dans son brouhaha de syllables. D'ailleurs, tu avais oublier qui était la personne qui te logeait gracieusement sur tes genoux, et dans ce demi-sommeil qui caracterisait ta prise de conscience de l'existence du monde reel, tu ne te souvenais plus du charmant bruit. Ouvrant tes deux yeux a peine, tu vis une forme indistinct que tu pris pour une petite amie. Car oui, qui d'autre te logerait sur ses genoux ? Tu te releva face à "elle" et tu l'embrassa a pleine bouche, ce qui la fit sursauter de surprise. "La" plaquant sur le li, tu prolongeas se baiser en te demandant pourquoi "elle" se debattait. Puis tu sentis quelques choses au niveau de ta jambe, d'assez prononcés pour illustrer le coté masculin de la personne que tu bécottais. Terminant en catastrophe ce baiser, tu recula et ouvris plus les yeux avant de regarder Adrian de la tete au pied.
« T-t'es qui... Deja ? »
Ah la la, Riku... Tu tournais la tête sans écouter la réponse que tu connaissait déjà, et tu détailla la chambre, et ses murs couvert de livres en allemand. Cela te rapelleais vaguement quelques choses, mais ta mémoire n'était pas encore connecté à ton cerveau : la conséquence directe de cette chose était de te faire te poser des interrogations quasi-mystique, comme : "Pourquoi ce garcon si mignon se trimbalait avec des livres en allemand dans sa chambre ?"
Mais rien ne t'apportais des réponses aux questions que tu te posais, si ce n'est le silence qui regnait dans la pièce, alors que le jeune homme sur lequel il était encore assis le regardait avec une sorte d'etincelle meurtriere dans le regard... De ton coté, tes yeux étaient découvert, et celui d'un bleu océan atirrait les yeux, à cause de ta coiffure tres verte. Il semblait déranger dans ce visage, et c'est pour cela que tu le cachais tout le temps... Une moue enfantine sur les levres, tu penchais la tête sur le coté en te demandant quand le garcon répondrait à ta question, sur son identité.
Lourd... Bruyant... Mouvementés... Lorsque tu dormais de ton sommeil le plus profond, le reste etait abstrait pout la chose qui se nommait cerveau et qui séjournait dans ton crane. Et Adrian Von Lok, avec sa piètre tentative pour te reveiller, faisait partie des choses abstraites. Tu l'entendis parler de l'heure, et tu ce fut l'unique chose que tu compris dans son brouhaha de syllables. D'ailleurs, tu avais oublier qui était la personne qui te logeait gracieusement sur tes genoux, et dans ce demi-sommeil qui caracterisait ta prise de conscience de l'existence du monde reel, tu ne te souvenais plus du charmant bruit. Ouvrant tes deux yeux a peine, tu vis une forme indistinct que tu pris pour une petite amie. Car oui, qui d'autre te logerait sur ses genoux ? Tu te releva face à "elle" et tu l'embrassa a pleine bouche, ce qui la fit sursauter de surprise. "La" plaquant sur le li, tu prolongeas se baiser en te demandant pourquoi "elle" se debattait. Puis tu sentis quelques choses au niveau de ta jambe, d'assez prononcés pour illustrer le coté masculin de la personne que tu bécottais. Terminant en catastrophe ce baiser, tu recula et ouvris plus les yeux avant de regarder Adrian de la tete au pied.
« T-t'es qui... Deja ? »
Ah la la, Riku... Tu tournais la tête sans écouter la réponse que tu connaissait déjà, et tu détailla la chambre, et ses murs couvert de livres en allemand. Cela te rapelleais vaguement quelques choses, mais ta mémoire n'était pas encore connecté à ton cerveau : la conséquence directe de cette chose était de te faire te poser des interrogations quasi-mystique, comme : "Pourquoi ce garcon si mignon se trimbalait avec des livres en allemand dans sa chambre ?"
Mais rien ne t'apportais des réponses aux questions que tu te posais, si ce n'est le silence qui regnait dans la pièce, alors que le jeune homme sur lequel il était encore assis le regardait avec une sorte d'etincelle meurtriere dans le regard... De ton coté, tes yeux étaient découvert, et celui d'un bleu océan atirrait les yeux, à cause de ta coiffure tres verte. Il semblait déranger dans ce visage, et c'est pour cela que tu le cachais tout le temps... Une moue enfantine sur les levres, tu penchais la tête sur le coté en te demandant quand le garcon répondrait à ta question, sur son identité.
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Re: Première Valse [Adrian]
Adrian fixa un moment la chose molle qui ouvrait les yeux, ce truc vert amorphe qui ressemblait plus à un vieux chewing-gum qu'à un humain en ce moment. Les iris acier suivaient ses déplacements jusqu'à ce qu'ils soient recouverts par les mèches émeraudes de cet espèce d'inconscient. Adrian essaya de reculer, sentant le souffle d'Akaraba contre sa joue, mais ses lèvres se retrouvèrent plaquées contre les siennes et il n'eut d'autre choix que de rester un minimum tranquille. Riku plaqua l'allemand contre le lit sans que l'autre comprenne pourquoi, mais le sentiment d'insécurité était suffisant pour essayer de se dégager de l'étreinte du vert. L'allemand commençait à manquer d'air, et à cause de ça il sentit son entrejambe durcir un peu (j'invente rien, les pendus avaient la trique =.=) Bon, le point positif, c'est qu'Akaraba l'avait lâché, enfin ! Adrian se colla au mur et reprit son souffle en tirant sur son "collier". Il ne rougissait pas, rien n'avait déformé l'ivoire de son minois, seule une très légère lueur qui animait ses yeux montrait le trop-plein de haine qu'il avait à présent pour cet imbécile. Il finit par descendre de son lit et attrapa le vert par le col avant de le plaquer contre un mur, retenant à grand peine ses coups
Toi... Scheisse !
Il l'envoya sans retenue câliner le sol et s'appuya contre le même mur, fixant son plafond. Son coeur battait encore assez fort, et ça c'était pas normal. Il se sentit glisser, jusqu'à se retrouver assis. Il ne bougeait pas, encore trop touché par ce qui venait de se passer... D'un air totalement absent, il posa une main sur ses lèvres, parce que ce con avait osé, après s'être incrusté dans sa chambre et lui avoir dormi dessus, cette espèce de motte de gazon avait osé l'embrasser ! Il avait signé son arrêt de mort ! Le von Lok se remit debout et chassa ce souvenir pesant de sa tête avant de fixer un moment le corps par terre, avait-il frappé trop fort contre le parquet ? Sûrement pas, Adrian n'avait pas cherché à le tuer. L'allemand finit par soupirer doucement et décida de l'emmerder encore un peu. Il se mit au dessus de lui et bloqua ses poignets au dessus de sa tête avec une seule main. Puis il dégagea l'oeil bleu de Riku avec son autre main et le força à le regarder
Et maintenant, tu vas faire quoi petit con ?
Adrian avait l'impression d'être absent, faisant simplement ce que lui dictait une voix qui avait enfoui sa conscience dans un coin sombre de son esprit. Il cligna des yeux et se rendit compte que son emportement était un peu con, de là à se retrouver sur un élève, en train de l'empêcher de bouger...
Toi... Scheisse !
Il l'envoya sans retenue câliner le sol et s'appuya contre le même mur, fixant son plafond. Son coeur battait encore assez fort, et ça c'était pas normal. Il se sentit glisser, jusqu'à se retrouver assis. Il ne bougeait pas, encore trop touché par ce qui venait de se passer... D'un air totalement absent, il posa une main sur ses lèvres, parce que ce con avait osé, après s'être incrusté dans sa chambre et lui avoir dormi dessus, cette espèce de motte de gazon avait osé l'embrasser ! Il avait signé son arrêt de mort ! Le von Lok se remit debout et chassa ce souvenir pesant de sa tête avant de fixer un moment le corps par terre, avait-il frappé trop fort contre le parquet ? Sûrement pas, Adrian n'avait pas cherché à le tuer. L'allemand finit par soupirer doucement et décida de l'emmerder encore un peu. Il se mit au dessus de lui et bloqua ses poignets au dessus de sa tête avec une seule main. Puis il dégagea l'oeil bleu de Riku avec son autre main et le força à le regarder
Et maintenant, tu vas faire quoi petit con ?
Adrian avait l'impression d'être absent, faisant simplement ce que lui dictait une voix qui avait enfoui sa conscience dans un coin sombre de son esprit. Il cligna des yeux et se rendit compte que son emportement était un peu con, de là à se retrouver sur un élève, en train de l'empêcher de bouger...
Adrian A. von Lok- Messages : 126
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Re: Première Valse [Adrian]
Sans comprendre pourquoi, la silhouette ne te répondit pas et te jeta au sol. Elle s'assit sur toi et te ceintura, attrapant tes poignets et les bloquant contre elle. Immobile, écrasé, tu regretta pendant un instant d'être entrée dans cette chambre quand il te dévisagea avec cette lueur sadique qui caractérise les meurtriers psychopathes. Sans t'en rendre compte, tu releva ta jambe, mais celle-ci ne te fut pas d'un grand secours lorsqu'il découvrit ton œil d'océan et qu'il te demanda ce que tu allais faire. Ta première réflexion fut qu'il allait te taper, avant celle, plus vicieux, qu'il allait te violer. Remarque, ce serait une brimade de plus part rapport à celle que tu avais eu petit, pas vrai ?
L'idée même de repenser au passé te fit réagir, et tu lui cracha au visage, provocation stupide mais audacieux. Tu inspira ensuite et te mit à crier au viol, ce qui ferait accourir les élèves et les surveillant, tu le savais. Alors, pourquoi tu ne fis pas ce que prévoyait ton plan d'action stupide ? Car, au lieu de crier ces quelques mots salvateur, tu murmura: « ... Si tu veux me faire des choses... Embrasse moi, plutôt. »
Parfois, je ne te comprend pas, Riku. Tu es pourtant le fruit de ma démentielle imagination, mais tu lui échappe et tu vis ta vie. De tes brimades subit pendant l'enfance, tu ne garde aucune expérience, et tu pousse le bourreau au péché charnel. Tu te tortille sous lui, tu es attiré par sa silhouette, et cette violence que tu ressens chez Adrian, tu la veux pour toi tout seul. Tu as sans doute envie de lui, inconsciemment. C'est viscéral, chez toi. Ce tennisman te rend fou.
« ... P-pardon, Adrian. Je ne te connais que depuis t-tout à l'heure, mais... »
L'idée même de repenser au passé te fit réagir, et tu lui cracha au visage, provocation stupide mais audacieux. Tu inspira ensuite et te mit à crier au viol, ce qui ferait accourir les élèves et les surveillant, tu le savais. Alors, pourquoi tu ne fis pas ce que prévoyait ton plan d'action stupide ? Car, au lieu de crier ces quelques mots salvateur, tu murmura: « ... Si tu veux me faire des choses... Embrasse moi, plutôt. »
Parfois, je ne te comprend pas, Riku. Tu es pourtant le fruit de ma démentielle imagination, mais tu lui échappe et tu vis ta vie. De tes brimades subit pendant l'enfance, tu ne garde aucune expérience, et tu pousse le bourreau au péché charnel. Tu te tortille sous lui, tu es attiré par sa silhouette, et cette violence que tu ressens chez Adrian, tu la veux pour toi tout seul. Tu as sans doute envie de lui, inconsciemment. C'est viscéral, chez toi. Ce tennisman te rend fou.
« ... P-pardon, Adrian. Je ne te connais que depuis t-tout à l'heure, mais... »
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Re: Première Valse [Adrian]
Un seul mot lui venait à l'esprit, un mot qui caractérisait parfaitement Riku aux yeux d'Adrian, si couramment utilisé au 21e siècle pour désigner les filles faciles. Pourtant il ne dit rien, restant interdit face à ce machin qui venait de lui cracher dessus. Il essuya la salive d'un revers de la main et soupira doucement avant de gifler fortement l'insolent. Il approcha son visage de celui du tennisman et plongea ses yeux dans les siens pour le faire espérer puis il murmura avec un ton chargé d'ironie et d'amusement
Je suis pas gay
Il continua de le maintenir au sol, la lueur dans ses yeux s'éteignit et il s'étira un moment, ce qui révéla que son haut avait rétréci au lavage, laissant voir la peau blanche et pâle de son ventre. L'allemand se pencha ensuite à nouveau sur le vert et caressa sa joue en lui ouvrant la bouche d'un doigt
Mais je vais faire une exception... Si quelqu'un l'apprend, t'es un homme mort...
Un léger sourire se dessina sur ses lèvres et il embrassa doucement Akaraba. Son sourire resta intact quelques secondes après puis s'effrita et disparu complètement, rendant sa froideur et son charme au visage d'Adrian. Il resta tout aussi proche de Riku et fini par murmurer doucement à son oreille
Alors promets-moi une chose, c'est simple : que maintenant tu m'appartiens
Satisfait, l'allemand passa une main dans ses cheveux verts et posa ses lèvres sur son front. Si Riku venait à refuser, il tombait de deux étages et Alexander faisait croire à un regrettable accident car lui qui était trop méfiant avait, dans un réflexe défensif, envoyé l'intrus sur son balcon (mais un peu trop loin)
Je suis pas gay
Il continua de le maintenir au sol, la lueur dans ses yeux s'éteignit et il s'étira un moment, ce qui révéla que son haut avait rétréci au lavage, laissant voir la peau blanche et pâle de son ventre. L'allemand se pencha ensuite à nouveau sur le vert et caressa sa joue en lui ouvrant la bouche d'un doigt
Mais je vais faire une exception... Si quelqu'un l'apprend, t'es un homme mort...
Un léger sourire se dessina sur ses lèvres et il embrassa doucement Akaraba. Son sourire resta intact quelques secondes après puis s'effrita et disparu complètement, rendant sa froideur et son charme au visage d'Adrian. Il resta tout aussi proche de Riku et fini par murmurer doucement à son oreille
Alors promets-moi une chose, c'est simple : que maintenant tu m'appartiens
Satisfait, l'allemand passa une main dans ses cheveux verts et posa ses lèvres sur son front. Si Riku venait à refuser, il tombait de deux étages et Alexander faisait croire à un regrettable accident car lui qui était trop méfiant avait, dans un réflexe défensif, envoyé l'intrus sur son balcon (mais un peu trop loin)
Adrian A. von Lok- Messages : 126
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Re: Première Valse [Adrian]
Riku ferma les yeux, laissant Adrian l'embrasser en lui disant qu'il n'était pas gay, mais qu'il ferait une exception pour lui. Le corp de l'homme aux cheveux verts protesta lorsque son amant s'écarta, et il sourit à la question de Riku sur l'appartenance.
« Oui... Je t'appartiens. Promis, Adrian. »
Il alla se serrer contre lui et lui faire un calin, avant d'aller en cours avec son ami, son petit ami. Il serrait ensemble maintenant. Plus jamais seul...
[FIN]
« Oui... Je t'appartiens. Promis, Adrian. »
Il alla se serrer contre lui et lui faire un calin, avant d'aller en cours avec son ami, son petit ami. Il serrait ensemble maintenant. Plus jamais seul...
[FIN]
Invité- Invité
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